Spoiler:

Après maintes tentatives je n'ai malheureusement pas pu honorer ton défi, Barvache, malgré mes efforts ô combien importants (exit le poète).
Nan franchement, j'ai pas réussit à rendre l'atmosphère retro même si je suis allé au boût d'aucune map, bref, j'ai rien à vous montrer.

Aussi je te demanderai de me fournir un autre défi, cette fois si tourné sur l'écriture de scénario si possible, j'ai perdu mes acquis de mapping, faudrait que je m'y remette sérieusement (en plus j'ai envie d'écrire x) ).

Voila ce que j'ai pondu, j'ai galéré et j'ai pas finis, mais je ne pourrai pas le faire à cause de problèmes familiaux. Si je vous les exposais, cela vous ferait plus rire que pleurer, mais ça risque de me pomper énormément de temps. J'en profite donc pour dire que je me retire de ce topic et que ma présence sur le fow' sera altérée et je risque d'être absent un petit bout de temps... Bonne lecture! (:



Dans la Creuse, le petit village de Pommé est peuplé de quelques habitants, tous fermiers. Alors bien sûr, quand le petit Marcel, 16 ans, proteste à l'idée de devenir fier agriculteur de son état, on peut plus ou moins anticiper la réaction de son père. Maintenant, de là à imaginer qu'il serait enfermé nuit et jour pendant une semaine dans la cabane au fond du jardin, servant en temps normal de cagibi, il y a de quoi divaguer. C'est ainsi que durant son pittoresque séjour en ces lieux quelques peu encombrés, il tomba sur un petit carnet noir et sale, avec inscrit à la main "Death Note". Pour la première fois après déjà 5 jours d'emprisonnement, Marcel esquissa un sourire. Parce que oui, sur la première page du cahier, on pouvait lire quelques règles qui semblaient régir l'utilisation du carnet, de choses qu'il jugea débiles une fois qu'il eut terminer de lire la longue liste. Cependant, son regard s'était arrêté sur 2 ou 3 points, qu'il dût relire plusieurs fois pour pouvoir les admettre: "la personne dont le nom est écrit dans ce cahier meurt", "il n’y aura aucun effet si celui qui écrit n’a pas le visage de la personne en tête quand il écrit son nom". Vraiment, quel étrange carnet... Pour s'amuser, Marcel fouina dans l'un des monticules d'objets usés et trouva un petit bout de charbon avec lequel il écrivit après réflexion le nom d'un de ces camarades de classe dans le cahier, et puis de toute manière "celui-là je l'aime pas" avait-il marmonner en écrivant le fameux nom en petites lettres. Après avoir passer les deux derniers jours dans le cabanon, Marcel fut libéré malgré les réticences de son père, et c'est à cet instant qu'il appris la mort de son condisciple, par crise cardiaque. Se réfugiant dans sa chambre, Marcel fondit sur le cahier et entreprit de le brûler, mais c'est alors qu'un être à la silhouette frêle mais humaine traversa le mur de sa chambre, lévitant à quelques centimètres du sol. L'individu arbora un grand sourire, laissant découvrir ses longues canines. Il commença à discuter avec Marcel, lui conseillant de ne pas faire ce qu'il s'apprêtait à faire. Il dit ce qu'il avait à lui dire, n'ommetant aucun de ces arguments qu'il avait l'habitude de répéter à ces humains auquel il donnait "involontairement" son cahier. Après mûre réflexion, Marcel accepta de garder le cahier, mais "pour faire le bien".
En deux semaines, il avait déjà rempli la première page du carnet avec les noms de quelques criminels recherchés en France et ailleurs, et déjà les médias commençaient à parler de cette vague de mort soudaine par crise cardiaque concernant les malfrats. Certains vouant un quasi culte à celui qu'on appelait "Death Master", d'autres le reniant. Mais un beau jour, Marcel fut surpris de ne plus voir l'ancienne TV fonctionnant avec la non pas plus vieille antenne parabolique. Il appris dans la soirée que son père l'avait emmené à la décharge avant d'en acheter une autre. Marcel, interloqué, demanda la raison de ce geste. "La TNT fiston, la TNT... Et puis ça t'fera pas d'mal non plus, tes notes baissent en ce moment...". Marcel fugua, se réfugiant chez un de ces amis, celui-ci équipé d'un téléviseur recevant les signaux numériques. Pendant plusieurs jours, il reste en paix chez lui, reprenant ses activités lugubres, forçant son ami a laisser le moniteur allumé sur les principales chaînes d'informations. Ce que je ne vous ai pas mentionné depuis tout à l'heure, c'était la présence toujours aussi régulière du spectre, mais le jeune homme s'habituait de plus en plus à son existence. Aussi il s'obligeait à ne pas le regarder quand celui-ci lui parlait, surtout en cours.


Et de toute manière, je n'avais plus d'inspiration :°
Mais encore une fois, désolé pour tout...

Vas-y vas-y, fais toi plaisir.

TaZ a écrit:

Déjà qu'à la base le défi est un peu nul, ça devient encore pire x)