♠ Devoir :

♦ Gain : 2 points de scénario / participant & 3 points supplémentaires ( donc 5 au total ) pour le gagnant.
♦ A me rendre par : mp
♦ Contexte : Ralph et Ylva discutent de ce qu'ils doivent faire du cristal maléfique ( ex : le détruire ? l'analyser ? le vendre ? ) qu'ils ont trouvé dans un donjon, et ce que ça implique. A vous de définir la suite, qui est de quel avis, qui l'emporte au final, ... n'oubliez pas les règles pré-citées, c'est à dire, par exemple, que leurs avis respectifs sont en lien avec leur passé, etc
♦ Tâche demandée : Rédiger le formulaire minimum à propos des personnages du dialogue, écrire le dialogue en lui-même.
♦ Support : Surprenez-moi x)
♦ Critères : Originalité / Humour / Cohérence / Utilisation de la Ponctuation / Orthographe ...

♠ Devoir :

♦ Gain : 2 points de scénario / participant & 3 points supplémentaires ( donc 5 au total ) pour le gagnant.
♦ A me rendre par : mp
♦ Tâche demandée : Analysez et trouvez le plus d'idées possibles à partir de la base que je vous donnerai, c'est à dire : une image, une chanson ( pas le clip youtube, uniquement le son, soit ), un poème, une locution. Vous pouvez combiner les idées si vous le désirez.
→ L'image : Clic

→ La musique : Rakuen ( Do As Infinity ) ( piochée au hasard dans ma playlist )

→ Le poème :

[spoiler]penser, vivre, mer peu distincte ;
Moi – ça – tremble,
Infini incessamment qui tressaille.

Ombres de mondes infimes,
ombres d’ombres,
cendres d’ailes.

Pensées à la nage merveilleuse,
qui glissez en nous, entre nous, loin de nous,
loin de nous éclairer, loin de rien pénétrer ;

étrangères en nos maisons,
toujours à colporter,
poussières pour nous distraire et nous éparpiller
la vie.

Henri Michaux

→ La locution : Tempora mutantur et nos mutamur in illis [Le temps bouge, nous bougeons avec lui]

♦ Critères : La pure originalité puisque l'inspiration se résume à ça généralement.

Devoir leçon 5

RECUEILLIR LES IDEES

Image > Les hommes sont des pièces d’échecs que des êtres supérieurs n’hésitent pas à sacrifier pour servir leur but.

Musique > Pas grand-chose à en dire car le son en lui-même ne m’inspire pas vraiment. Enfin pas celui-là, je suis peu sensible à la musique japonaise.
*Ceci dit :« Do as infinity ».
Hop une idée => « Faire comme ça ne finirait jamais. »
*Dans le clip, on voit un paysage vierge, avec au milieu, seule : une chaise.
Se retrouver seul dans l’infini… le destin d’un ou plusieurs personnages ?
*Une fleur blanche : la seule compagnie dans le vide… l’espoir.

Poème > saisir le sens de ce poème, exclu pour moi. Poème inutile ? Non. Récupérons juste quelques mots et on devrait pouvoir en faire quelque chose
« Pensez, tremblez, ressortez éclairés », ceci sera le dicton d’une secte obscure.

Locution > Une philosophie d’un personnage ou d’un groupe de personnes : « Le temps serait une dimension mystérieuses, car il est là seule que l’on ne maîtrise pas. Que l’on ne module pas. Faux. Des 4 dimensions connues, le temps est la plus simple. On bouge en deux sens dans les trois autres, on les façonne. On crée, on détruit. Dans la dimension temporelle, il n’y a qu’un seul chemin : le futur. Le temps est la seulement dimension que l’homme ne peut paramétrer non pas car c’est la plus étrange, mais car c’est la plus simple, qui n’obéis qu’à une seule règle de base : avancer. »

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Je n’ai pas bien compris s’il fallait juste énoncer les idées comme ça, ou les organiser pour faire une base de scénario.
Dans le doute, je vais le faire.

Donc on va résumer ça :

Ébauche de scénario/background:
« XVIIIe siècle, Angleterre. Londres est une ville aux bas-fonds denses. On y trouve nombre de choses, des mœurs étranges, des histoires mystérieuses, des chemins dangereux.
Dans l’ombre d’une taverne se réunissent tout les mardis soir un groupe de philosophes.
Chacun porte au doigt un bague en forme de sablier.
Ils sont en fait, clandestinement, les maîtres d’une secte occulte.
Leur devise : « Pensez, tremblez, ressortez éclairés »
Le problème, c’est que les pauvres faibles d’esprits qu’ils ont recruté on bien pensé, on certainement tremblé, mais ne sont jamais ressortis de l’obscurité de la cave servant de centre d’étude.
Les choses démarrent pourtant bien. Les philosophes de notre secte, qui s’est donné pour nom l’Edelweiss, mettent en place une théorie sur les dimensions. Ils se mettent d’accord pour dire que des quatre dimensions connues, le temps n’est pas comme on le dit la plus mystérieuse et la plus complexe, mais la plus simple. La seule sur laquelle on n’a aucune influence. La seule qu’on ne peut moduler. Il s’agit d’une route ne proposant qu’une seule alternative : le futur.
Avancer sans reculer, sans faire de détours.
Mais les choses tournent mal. Leur théorie intéresse pas mal de monde, mais lorsque ceux-ci prennent conscience que la maîtrise du temps est donc inaccessible, ils se mettent à délire.
La santé mentale des beaucoup ne supporta pas la perte de cet espoir que le temps n’existait pas, ou que l’on arriverait un jour à la maîtriser.
Ils devenaient fous, redoutant chaque seconde car elle les rapprochait un peu plus de la fin.
Certains se suicidaient de désespoir, d’autres ne quittèrent jamais la cave de la secte, assis sur les chaises, le regard vide, entourés physiquement, mais seuls mentalement.
Des enquêteurs – les personnages principaux du jeu – sont lancés sur l’affaire.
Leur objectif ? Se rapprocher de l’Edelweiss, et découvrir ce qui a pu causer ce désastre.
Est-ce juste une idée farfelue, ou trop réelle, qui détruit la vie de toutes ces personnes, ou un autre ennemi se cache-t-il dans l’ombre, manipulant ces faibles créatures ?
Quelle que soit la réponse, nos amis enquêteurs doivent arriver à un même résultat, les activités de la secte doivent cesser, et ses gens doivent être sauvés si c’est encore possible. »[/quote]

image : le bien et le mal, combattre pour le droit de vivre, pensée en toute sérénitée,
ange déchu et bon démon.

musique : l'infini, le choix de vie, rêves de plein ciel,
bouffée d'oxygéne, la joie de pouvoir choisir, penser et réfléchir,
prendre la vie comme elle vient.

poème : le rêve, la peur de ne plus savoir qui l'on est et comment on vie,
le sommeil qui ne tient qu à un fil, l amour qui voyage s'en allant et revenant toujours,
se sentir frémir en pensant a l'infini et au noir sans vie.