Renaud et Armide ou la nouvelle Jérusalem Délivrée
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Phaéton
Poulet carnivore Lv.2
Age : 30 Inscrit le : 05/07/2011 Messages : 28
Sujet: Renaud et Armide ou la nouvelle Jérusalem Délivrée Ven 8 Juil 2011 - 22:02
Bon, je sais que Armide est par-ci par-là, mais ces temps-ci j'en ai comme une obsession, surtout avec l'opéra Rinaldo d'Handel (oh non ! de la musique classique >< ). Ce que vous lirez est comme le fesait à l'époque de Lully, le compositeur officiel de Louis XIV, jouer et modifier des légendes et mythe.
Chapitre I : L'annoncement de Mars
La lueur du soir montrait ses magnifiques rayons provenant de la lune. Celle-ci était majestueuse que on ne la retrouvait pas en Occident. Dans les contrées aride du désert égyptien qui continuait jusqu'en Judée se trouvait un campement, surmonté de grande tente aux diverses couleurs. Il y en avait une qui en était décoré d'un blason, ce qui en était sûr ce blason n'en était pas moins celui d'un roi mais d'un duc, un duc français. Quelques soldats fessaient la garde, surveillant toute trace ennemie. C'était un soir d'été, mais très froide dans ce pays qui fût le lieu de la naissance de Jésus de Nazareth. Les hommes qui étaient là était des Templiers, des Hospitaliers et même des soldats de l'armée personnelle du Roi de France, prêt à combattre contre ces maudits arabes. Tous ce monde impressionnant dormait, sauf deux personne : le duc Godefroy et son fidèle chevalier, le chevalier Renaud. Tout deux n'avait pas le sommeil, peut-être que Morphée ne les avaient point rendu visite encore. Godefroy et Renaud observaient les cartes de la Terre-Sainte, construisant divers stratégies auquel ils devaient élaboré leurs plans du siège d'Antioche, Nicée, Tripoli, Damas et la ville où le Christ fût mit à mort : Jérusalem. Et il fallait aussi s'occuper que les astres leur donnent le soutient qu'ils espèrent : la victoire et la gloire de toute l'armée chrétienne. Après deux heures de temps à observer les plans et les cartes de la Terre-Sainte, ils sortirent de la tente de Godefroy et prirent la route vers une coline pas si loin de leur camp. L'astrologue Pierro Cavalli était à ses occupations comme à chaque soirs. Entendant l'arrivé des deux chevaliers, il les accueillient et les invitants, comme à chaques soirs, à prendre place sur deux chaises de mauvaise qualité. Godefroy prit la parole après ce bref silence.
- Alors ami, quelle nouvelle Dieu nous envois ? Est-ce des bonnes ou mauvaises nouvelles ?
- Sir, dit l'astrologue avec un air contrarié, sachez que ce n'est point Dieu qui parle mais les astres. Dieu a possiblement l'occasion de leurs soufflers ses messages.
- Astrologue, nous ne sommes point ici pour parler théorie et philosophie mais des astres qui portent le message du future. Alors, qu'as-tu à m'annoncer
- Eh bien sir Godefroy, je crains vous dire que...
- Dire quoi ?, dit Renaud précipitamment.
- Renaud, veux-tu ne point te hâter aussi vite, l'astrologue Pierro n'a pas fini de nous expliquer. Donc sache faire preuve de patience, ami.
- Oui sir, pardonnez-moi mon geste.
- Bien, continuer astrologue, nous vous écoutons.
- Comme je vous le disais, sire, ce soir les astres ne sont point pareil que les autres soirs.
- Que voulez vous dire ? dit Godefroy surpris de cette réponse.
- Monseigneur, regardez par vous même.
Les deux chevaliers observaient le ciel étoilé. Dans le ciel, on pouvait voir parfaitement une étoile rouge très brillante.
- Il y'a une étoile qui brille très forte, dit Godefroy, elle brille d'un rouge vif.
- Cette étoile, monseigneur, n'en ai pas. Ceci est une planète.
- Et quel est son nom ?, demanda Renaud.
- C'est le dieu de la guerre... Mars. Ce qui veut dire..
- Que nous allons avoir une bataille dans peu de temps, dit subitement Godefroy.
Les deux hommes et l'astrologue entendirent le galop d'un cheval semblait venir en leur direction. Les deux chevaliers prirent leurs épées en main et se mirent en position de combat, lorsqu'ils découvrirent que ce n'était qu'un des leurs, mais blessé.
- Ciel ! Mais quel crime a pu été commit sur ce chevalier, dit Renaud choqué de cette vision.
- Par Dieu ! Allons Renaud, venons à son aide ! dit Godefroy s'élançant à son secoure.
Renaud et Godefroy coururent à sa rencontre. L'homme semblait être blessé gravement, son sang coulait comme une rivière coule le long de son trajet. Ils firent débarquer l'homme de son cheval et l'étendit sur le sol. L'homme semblait avoir encore un peu de sa force pour parler.
- Seigneur Godefroy... je.. je vous... porte un... un message de... de ces chiens... bâtard, disait le chevalier mourant. Ce.. ce.. message... vous dit... de prendre garde... à... à Hidraot... le tout... puissant... et.. craignez... son armée... si.. si.. puissante.
- De craindre Hidraot ? Qui est-ce ? dit Godefroy.
- C'est... c'est... le seigneur... de.. Damas... et... faite... attention...
- Attention de quoi ? Dite-le ! dit Renaud, impatient de savoir.
- À... à.. la nièce d'Hidraot... elle.. est... magicienne... son... nom est... est..
- Il nous quitte Godefroy, dit Renaud qui ne savait que faire de le voir demême.
- Ar....
Et le chevalier succomba à sa blessure. Les deux hommes se regardaient, perdu par ces révélations troublantes. Ce que la planète du dieu de la guerre avait bien prédit ; une bataille se rapprochait très rapidement.
- Qu'allons-nous faire Godefroy ?, dit Renaud.
- J'en n'ai la moindre idée Renaud. Aller, allons prévenir les autres de la mort d'un de nos hommes et qu'on le porte en terre.
Tous ce qu'ils savaient, était le seigneur de Damas, Hidraot et de sa nièce, dont le nom leurs étaient inconnue encore. Mais ils allaient vite l'apprendre qui est cette magicienne.
Arty'
Age : 134 Inscrit le : 14/04/2009 Messages : 1321
Sujet: Re: Renaud et Armide ou la nouvelle Jérusalem Délivrée Sam 9 Juil 2011 - 11:30
MOUHAHAHAHA
Spoiler:
*hum* En route !
Je vais directement donner une impression d'ensemble de ton texte, ne t'en déplaises. Comment dire ... Ça pourrais être bon, mais ça ne l'ai pas. Et tout ça, à cause d'un certains nombre de fautes syntaxiques, de grammaire et d'orthographe (voire peut-être aussi de conjugaison à certains moments). Y'a peut-être même des fautes de sens et de formulation ... Okay, c'est dur, mais c'est comme ça.
En fait, je pense que tu as voulu pondre un super texte de la morkitue, mais tu ne dois pas avoir le niveau de maîtrise suffisant. Je déduis ça du fait que le premier paragraphe et de la full description, et que après, on a juste un dialogue plat, sans passage narratif ou descriptif.
Bref, maintenant, analyse complète :
Citation :
La lueur du soir montrait ses magnifiques rayons provenant de la lune. Celle-ci était majestueuse que on ne la retrouvait pas en Occident. Dans les contrées aride du désert égyptien qui continuait jusqu'en Judée se trouvait un campement, surmonté de grande tente aux diverses couleurs. Il y en avait une qui en était décoré d'un blason, ce qui en était sûr ce blason n'en était pas moins celui d'un roi mais d'un duc, un duc français. Quelques soldats fessaient la garde, surveillant toute trace ennemie. C'était un soir d'été, mais très froide dans ce pays qui fût le lieu de la naissance de Jésus de Nazareth. Les hommes qui étaient là était des Templiers, des Hospitaliers et même des soldats de l'armée personnelle du Roi de France, prêt à combattre contre ces maudits arabes. Tous ce monde impressionnant dormait, sauf deux personne : le duc Godefroy et son fidèle chevalier, le chevalier Renaud. Tout deux n'avait pas le sommeil, peut-être que Morphée ne les avaient point rendu visite encore. Godefroy et Renaud observaient les cartes de la Terre-Sainte, construisant divers stratégies auquel ils devaient élaboré leurs plans du siège d'Antioche, Nicée, Tripoli, Damas et la ville où le Christ fût mit à mort : Jérusalem. Et il fallait aussi s'occuper que les astres leur donnent le soutient qu'ils espèrent : la victoire et la gloire de toute l'armée chrétienne. Après deux heures de temps à observer les plans et les cartes de la Terre-Sainte, ils sortirent de la tente de Godefroy et prirent la route vers une coline pas si loin de leur camp. L'astrologue Pierro Cavalli était à ses occupations comme à chaque soirs. Entendant l'arrivé des deux chevaliers, il les accueillient et les invitants, comme à chaques soirs, à prendre place sur deux chaises de mauvaise qualité. Godefroy prit la parole après ce bref silence.
"La lueur du soir montrait ses magnifiques rayons provenant de la lune". Hum, trop de contre-sens, là. Le soir, donc, en plus particulier la nuit (d'ailleurs, le soir ferait plus référence au coucher de soleil, il vaudrait mieux mettre tout simplement "la nuit", à la place) résulte donc une certaine obscurité. Obscurité qui peut difficilement avoir une quelconque lueur. Enfin, en termes poétiques, si, mais là, ce n'est pas le cas, la formulation n'est pas adaptée. Une lueur ne risque pas de montrer des rayons. Se serait plutôt un éclat, qui engendrait des rayons. Quant aux rayons de lune, je ne suis pas sûr que ça se dise. Ah, et puis, vire le "de la lune", "de lune" suffit.
"Celle-ci était majestueuse que on ne la retrouvait pas en Occident". J'ai relu quatre fois, j'ai pas saisi. Je suppose que tu voulais dire qu'une telle lune n'était visible qu'en Orient ? A reformuler. Ah, aussi, le désert Egyptien se trouve en Occident, et non en Orient. "[...] de grandes tentes aux diverses couleurs." Déjà on dirait plus "aux couleurs diverses", et ensuite, en plein désert, on favorise les tentes aux couleurs ternes. Du tissu rouge pétant ou bleu claquant, c'pas l'fun, vu ce qu'il peut rôder dans le désert. "Un duc Français". Il était tout de même rare pour un duc de se lancer dans un voyage en plein désert. Les ducs n'avaient pas la possibilité de conquérir des territoires. A la rigueur, cela peut-être une expédition ... "[...] fessaient la garde". Ouille. FAISAIENT. Ah, et ils surveilleraient toutes traces d'ennemis. Tu devrais préciser quelle genre d'ennemi. " [...] mais très froide". Qui est froid ? Le soir. Donc froid. "Les hommes qui étaient là était des Templiers, des Hospitaliers et même des soldats de l'armée personnelle du Roi de France, prêt à combattre contre ces maudits arabes" Oula. Il y'a deux minutes, c'était une simple petite troupe d'un duc. Et pourquoi se battre contre des arabes ? "Tous ce monde impressionnant dormait, sauf deux personne : le duc Godefroy et son fidèle chevalier, le chevalier Renaud." Pareil, il y'a deux ligne,s il y'avait des soldats qui faisaient la garde ... Ca va pas, c'est ce genre de détail qui gâche le texte. "peut-être que Morphée ne les avaient point rendu visite encore"=> Peut-être que Morphée de leurs avaient point encore rendu visite. RELIS TES PHRASES. "construisant"=> construisants "[...] divers stratégies auquel ils devaient élaboré leurs plans [...]" => "Divers stratégies d'après lesquels ils devaient élaborer leurs plans". Déjà beaucoup mieux ! "Et il fallait aussi s'occuper que les astres leur donnent le soutient qu'ils espèrent[...]" => "Il fallait espérer que les astres leur donnent le soutient nécessaire" "[...] pas si loin [...] => Proche "[...] il les accueillient et les invitants [...] => "Il les accueillit et les invita". De plus, d’après ce que je comprends, Godefroy et Renaud ne dorment jamais, n'est-ce pas ?
Voilà, j'ai fini le premier paragraphe ! Je te laisses déjà méditer là-dessus, et je m'occuperais du dialogue après. Enfin, à la vue de tout ça, avoues que ce n'est pas parfait. Tu as voulu te surpasser, certes, il y'a de bonnes volontés, mais tu n'as pas encore de bonnes bases pour ce genre d'écriture. Lire et la seule chose que je peux te proposer pour t'améliorer.
Invité
Invité
Sujet: Re: Renaud et Armide ou la nouvelle Jérusalem Délivrée Sam 9 Juil 2011 - 12:22
Je fais ici suite au message de mon collègue Artyflash ! Ce dernier ayant déjà commenté le début, je m'attacherai plus particulièrement au dialogue !!
C'est parti :
Spoiler:
Juste une petite image pour Arty' !!
D'un point de vue global, les répliques manquent un peu de naturel. A certains moments, c'est assez fluide, mais certaines cassent vraiment le rythme. Exemple :
Citation :
- Eh bien sir Godefroy, je crains vous dire que...
- Dire quoi ?, dit Renaud précipitamment.
Déjà, le "je crains vous dire que", ça grince... Pas bien !! Mettre juste "Je crains que..." suffira largement. Quant à la coupure du gugusse, il faut que cela soit naturel. On coupe pas une phrase comme ça sans raison. Alors le type doit avoir une raison de couper la parole, ou au moins exprimer une émotion. Parce que le gars qui coupe pour couper, c'est pas très fluide !!
-On dit pas "sir", mais "cire". Nan, je rigole !! Sérieusement, c'est "sire". Mettre un aspect anglophone juste pour la tchatche, ça n'a aucun intérêt !! Et "sire" est un terme utilisé plus particulièrement pour qualifier un roi ou un empereur ayant déjà régné ou en règne. Mais là, je chipote, c'est vrai...
Citation :
- Sir, dit l'astrologue avec un air contrarié, sachez que ce n'est point Dieu qui parle mais les astres. Dieu a possiblement l'occasion de leurs soufflers ses messages.
=> Bon dieu, un hérétique !! Au bûcher !! Non, plus sérieusement, l'astrologie, au moyen-âge, est une pratique interdite par l'Eglise, et, même s'il est vrai qu'elle continua d'exister, ceux qui s'en nourrissaient n'établissaient aucun rapport entre Dieu et cette "science"...
Citation :
Les deux chevaliers observaient le ciel étoilé. Dans le ciel, on pouvait voir parfaitement une étoile rouge très brillante.
- Il y'a une étoile qui brille très forte, dit Godefroy, elle brille d'un rouge vif.
- Cette étoile, monseigneur, n'en ai pas. Ceci est une planète.
- Et quel est son nom ?, demanda Renaud.
- C'est le dieu de la guerre... Mars. Ce qui veut dire..
=> que les deux gus puissent repérer Mars si facilement sans aucune carte du ciel me fascine !! Et à l'époque, la différence planète-étoile n'était pas très claire. Les incultes de l'époque préféraient tout nommer "astre", c'est plus simple...
Citation :
- Que nous allons avoir une bataille dans peu de temps, dit subitement Godefroy.
Les deux hommes et l'astrologue entendirent le galop d'un cheval semblait venir en leur direction
=> La transition est bien malhabile... On dirait que le "subitement" est là comme si le gus savait que quelque chose allait arriver, et qu'il se dépêchait de finir avant...
Citation :
dit Renaud choqué de cette vision.
=> Ce type est un soldat, non ? Il en a déjà vu d'autres... S'il est choqué à chaque fois, il doit pas se battre souvent...
Citation :
son sang coulait comme une rivière coule le long de son trajet. Ils firent débarquer l'homme de son cheval et l'étendit sur le sol.
=> "lit" sonnera mieux que "trajet". Et "débarquer" d'un cheval, bof bof...
Citation :
- Seigneur Godefroy... je.. je vous... porte un... un message de... de ces chiens... bâtard, disait le chevalier mourant. Ce.. ce.. message... vous dit... de prendre garde... à... à Hidraot... le tout... puissant... et.. craignez... son armée... si.. si.. puissante.
=> On frappe pas à mort un type qui apporte un message de notre part... On peut le torturer, mais on s'arrange pour qu'il reste en vie afin de porter la nouvelle... Si tu veux une idée : Les Khwârazm-Shahs, une dynastie iranienne, avaient renvoyé les messagers de Gengis khan en leur crevant les yeux à tous, sauf un qui guiderait les autres. Amusant, non ?
Citation :
- Ar....
Et le chevalier succomba à sa blessure.
=> Incroyable, le type qui meurt au moment où... on s'y attend. De plus le "et" de la phrase d'après me paraît totalement inapproprié...
Citation :
Ce que la planète du dieu de la guerre avait bien prédit ; une bataille se rapprochait très rapidement.
=> Où cela a-t-il été explicité ? Moi je ne vois pas...
Enfin, voilà, une histoire intéressante, mais pas mal de fautes qui gâchent le plaisir... Le "fessaient" en est juste drôle, mais c'est pas le but... Enfin, retravaille déjà orthographe, grammaire et le tsintoin...
Sur ce, bonne continuation !!
Arty'
Age : 134 Inscrit le : 14/04/2009 Messages : 1321
Sujet: Re: Renaud et Armide ou la nouvelle Jérusalem Délivrée Sam 9 Juil 2011 - 12:44
Je note juste un truc supplémentaire minuscule : en plein désert, il est tout de même assez difficile pour un cheval de galoper, surtout dans le sable. C'est pour ça qu'on utilise des chameaux :B
Phaéton
Poulet carnivore Lv.2
Age : 30 Inscrit le : 05/07/2011 Messages : 28
Sujet: Re: Renaud et Armide ou la nouvelle Jérusalem Délivrée Sam 9 Juil 2011 - 13:06
Merci à vous deux. J'avoue que je ne suis pas parfait en français, même si j'aime beaucoup cette matière. Je constante que j'ai eu un relâchement au niveau de l'orthographe un peu, d'après vôtre savoir X) . Pour un cheval qui galope en plein désert, ben j'suis d'accord avec toi Arty, mais on est dans un conte fantastique, surtout le Tasse s'imaginait bien des chevaux des croisés. Et c'est sûr j'apprend le français d'une manière différente que la vôtre, mais tout en restant dans le même univers, donc il n'est pas rare que vous allez apercevoir quelques terminaison ou de notion de français, qu'on retrouve seulement chez nous. =o
J'vous donnes une exemple : un maire c'est au masculin, mais y'a-t-il un féminin ? Oui, donc un maire - une mairesse. Approuvé par l'Office de la langue Française Québécoise =o. Donc en même temps vous m'en apprenez comme je vous apprends différente notions qu'on retrouve ici et pas chez vous en même temps =o. Et «Sir», je me souvenais plus si c'était sir ou sire xD, mais merci de m'y avoir corrigé, ayoye faudrait je retourne aux livres moi.
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Sujet: Re: Renaud et Armide ou la nouvelle Jérusalem Délivrée
Renaud et Armide ou la nouvelle Jérusalem Délivrée